Les Rencontres
« Madame est en beauté ce matin, que désire-t-elle avant de consommer son petit déjeuner»
« toi nu sur la croix recevant ta punition de la matinée »
Les rencontres sont attirantes, affolantes, grisantes
Ne pas savoir comment l’aborder, sans trop lui en dire, juste assez pour la faire frire, sans trop rire
Un zeste d’angoisse, le stress de la page blanche ou le trac au lever du rideau
La discussion au clavier, permet d’entrouvrir la pensée, attise la curiosité
J’aime le contact physique et sentimental, la spontanéité sans brutalité, le désir instinctif de celle qui veut me toucher sur l’instant
La compréhension des souhaits, commence au premier regard échangé.
Assise sous le parasol de la terrasse d’un café, une a émise le souhait de me ligoter, pour gouter ma peau sucrée, mon majeur entre ses lèvres, la douce a énoncé ses désirs cachés.
Un lieu public est conseillé, pour ne pas finir prisonnier
Le restaurant j’ai tenté, pour la tendresse d’une caresse, que la dame souhaitait sur la fesse me transmettre, mais l’endroit ne permet pas cela, trop d’yeux lèchent le lieu.
Le musée est plus intime, comme une alcôve hautement sécurisée, par ses caméras de surveillance et gardes aux accès. Les bancs de velours rouge donnent l’ambiance du moment, main sur sa cuisse en remontant sur ses seins, me font monter la pulsion de vouloir la consommer sur le séant, en faisant basculer son bassin, remonter sa jupe, baisser sa petite culotte, pour lui châtier le fessier.
Si autrefois cette action permettait la fusion, aujourd’hui le préposé à la surveillance, aura tôt fait de prévenir l’intendance, pour nous surprendre dans l’opération, nous attacher autrement pour devant un tribunal, nous infliger la sanction.
Promenade en forêt, pour discuter sereinement de l’objet que nous pourrions utiliser, une branche souple remplacera la badine, qui dans chacune de nos mains, fera ressentir à l’autre, belles sensations et fortes émotions
Banc et tronc à terre y sont rares, la fessée se fait à l’ancienne, posée délicatement sur mes genoux, la jupe relevée, sa petite culotte baissée, la douce va sentir ma passion lui claquer rapidement son fessier.
La forêt protège les promeneurs des regards inquisiteurs, souvent j’ai gambadé en son intérieur, accompagné d’une séduisante, brulante du désir de m’attacher au premier arbre croisé, pour me caresser de ses ongles agités, me fouetter de ses cuirs tressés
Le plaisir est dans la rencontre, de celle aux fantasmes et désirs non masqués, dont le souhait est de les faire partager, sans aucun remords ni regrets, simples interactions de nos esprits et corps enlacés, dans une transe fortement embrasée.
Certaines hésitent à communiquer, pourtant ceux et celles qui publient une annonce, souhaitent dépasser le stade du premier baiser, pour explorer l’âme et la sensibilité du partenaire abordé.